Finalement 23e à Garmisch-Partenkirchen, Elia Zurbriggen a marqué quelques points bienvenus dans une saison où il peine à jouer les premiers rôles. Le Valaisan n’arrive pas à se lâcher et commet souvent trop d’erreurs en course. Vingt-troisième à Beaver Creek, 21e à Val d’Isère et 19e à Adelboden, il occupe actuellement le 28e rang de la Coupe du monde de géant. Plus régulier et mieux classé que les saisons précédentes, il peine encore à franchir le cap qui lui permettrait de jouer les premiers rôles.

Vous ne vous êtes pas qualifié pour les Jeux, c’est dur?

Les Jeux olympiques n’étaient pas mon objectif principal cette saison. Ça aurait pu être sympa d’y aller, mais si je ne skie pas vite, ça ne sert à rien de faire le déplacement de toute façon.

Du coup, vous vous concentrez sur la Coupe du monde.

Oui, pour l’instant, c’est plus important pour moi de faire des points en Coupe du monde que de penser à d’autres épreuves.

Avant le début de l’hiver, vous parliez de saison de la dernière chance. Qu’en est-il?

Si je reste dans les 30 meilleurs, je continue. Il y aura encore une course en géant après Garmisch-Partenkirchen. On fera le bilan en fin de saison avant de prendre des décisions.

LMO, Garmisch-Partenkirchen